1926 Les maîtres chanteurs de Nuremberg (der meister von Nürnberg) de Ludwig Berger avec Veit Harlan | 1934 L’or (gold) de Karl Hartl avec Hans Albers, Brigitte Helm, Lien Deyers, Friedrich Kayßler & Fita Benkhoff | 1937 Gasparone – de Georg Jacoby avec Johannes Heesters, Marika Rökk, Leo Slezak & Oskar Sima | 1959 La rage de vivre (verbrechen nach schulschluß) de Alfred Vohrer avec Heidi Brühl & Peter van Eyck | ||
Née de parents allemands, Elisabeth Karoline Augustine Wagner vient au monde le 24 janvier 1881, à Reval dans l’empire Russe (maintenant Tallin, capitale de l’Estonie), sous le règne du Tsar Alexandre II. Elle reçoit une formation d’actrice auprès de Maria Spettini (1847/1904) à Saint-Pétersbourg. Elle commence sa carrière artistique dès la fin du dix-neuvième siècle sur les scènes des théâtres de Plauen, Heidelberg et Hanovre. Elle y joue les soubrettes ou les jeunes premières. À partir de 1911, elle poursuit son ascension au Deutschen Theater puis au Stadttheater de Berlin.
Elsa Wagner est déjà une star des scènes germaniques quand, en 1916, elle apparaît pour la première fois devant une caméra sous la direction du réalisateur Robert Wiene dans «Das wandernde licht». Ce premier essai s’avère concluant et elle devient rapidement une actrice très demandée pendant toute la période du cinéma muet. Elle joue des seconds rôles dans plusieurs productions aux côtés de son amie Henny Porten et de Asta Nielsen. Excellente comédienne, elle est souvent sollicitée par les plus grands cinéastes de son époque, apparaissant ainsi dans quelques chefs-d’œuvre du cinéma muet germanique, parmi lesquels: «Le cabinet du docteur Caligari» (1919) de Robert Wiene, «Satanas» (1919) de Friedrich Wilhelm Murnau, «La femme du pharaon» (1921) de Ernst Lubitsch, «I.N.R.I.» (1923) toujours de Robert Wiene et «Les maîtres chanteurs de Nuremberg» (1926) de Ludwig Berger.
Dans les années trente, l’arrivée du cinéma parlant impose Elsa Wagner comme actrice indispensable pour les rôles de composition des grandes productions de la UFA. Un plus large public découvre alors une charmante comédienne qui roule les «R» comme personne. Elle devient une vedette très populaire et côtoie les plus grandes stars de l’entre-deux guerres: Hans Albers et Brigitte Helm dans «L’or» (1934), Anton Walbrook dans «L’étudiant de Prague» (1935), Gustav Fröhlich dans «Die entführung» (1936), Marika Rökk et Johannes Heesters dans «Gasparone» (1937), Heinrich George dans «Ball im metropol» (1937), Brigitte Horney dans «Toi et moi» (1938) et Heinz Rühmann dans «Le chapeau florentin» (1939). Malgré ce rythme effréné, parfois dix films en un an, elle triomphe régulièrement sur les scènes berlinoises. Durant la Seconde Guerre mondiale, Elsa Wagner se fait plus rare sur les écrans, privilégiant le théâtre. De 1945 à 1951, elle devient membre honoraire du Deutschen Theater de Berlin. Elle évite tout film compromettant et n’est pas inquiétée à la fin des hostilités. Dès la reprise des activités cinématographiques, l’actrice tourne régulièrement jusqu’à la fin de sa vie. Devenue une grand-mère respectable, elle s’amuse encore à interpréter les vieilles dames ou les domestiques dans bon nombre de films. Nous pouvons citer: «La rage de vivre» (1959) de Alfred Vohrer, «Quand les fantômes s’amusent» (1960) de Kurt Hoffmann et «Dr. Med. Fabian» (1969) de Harald Reinl. En 1966, elle reçoit un prix d’honneur par l’Académie du Cinéma Germanique, pour l’ensemble de sa prolifique carrière.
Au début des années 60, on la voit dans des productions télévisées telles que la série «Jedermannstraße11». Elsa Wagner apparaît une dernière fois au cinéma, en 1973, dans «Le piéton» de Maximilian Schell aux côtés de Dame Peggy Ashcroft et d’une pléiade d’anciennes stars de la UFA. Elle s’éteint discrètement à Berlin Ouest, le 17 août 1975, dans sa quatre-vingt-quinzième année.
© Philippe PELLETIER
1916 | Das wandernde licht – de Robert Wiene
avec Emil Rameau
Das leid der liebe – de Rudolf Biebrach avec Rudolf Biebrach |
1918 | Der fremde fürst – de Paul Wegener
avec Rochus Gliese
Die blaue Mauritius – de Viggo Larsen avec Käthe Dorsch Die sieger – de Rudolf Biebrach avec Arthur Bergen Le joueur de flûte de Hamelin ( der rattenfänger / der rattenfänger von Hameln ) de Paul Wegener avec Wilhelm Diegelmann Der fall rosentopf – de Ernst Lubitsch avec Trude Hesterberg Le bal costumé de la vie ( das maskenfest des lebens ) de Rudolf Biebrach avec Henny Porten |
1919 | La calamité de Monique ( Monika vogelsang ) de Rudolf Biebrach
avec Paul Hartmann
Stötebecker – de Ernst Wendt avec Gustav Botz Die lebende tote – de Rudolf Biebrach avec Paul Bildt Prinzesschen – de Alfred Halm avec Lotte Neumann Le cabinet de docteur Caligari ( das kabinett des doktor Caligari / das cabinet des Dr. Caligari ) de Robert Wiene avec Werner Krauss Not und verbrechen – de Fred Sauer avec Mady Christians Satanas – de Friedrich Wilhelm Murnau avec Fritz Kortner Film en 3 parties 1 : Le tyran (der tyrann) 2 : Le prince (der fürst) 3 : Le dictateur (der diktator) Die dame im auto – de Adolf Gärtner avec Ernst Pittschau Die beiden gatten der frau Ruth – de Rudolf Biebrach avec Curt Goetz L’outil de Cosimo ( der werkzeug des Cosimo ) de Alfred Halm avec Ferdinand Bonn |
1920 | Die verwandlung – de Karl Heinz Martin
avec Walter Janssen
Wie das mädchen aus der Ackerstrasse die heimat fand – de Martin Hartwig avec Albert Steinrück Peut-on tuer les idées ? ( können gedanken töten ? / gefesselte menschen ) de Alfred Tostary avec Erich Kaiser-Titz De l’aube à minuit ( von morgens bis mitternachts ) de Karl Heinz Martin avec Ernst Deutsch La nuit de la reine Isabeau ( die nacht der königin Isabeau ) de Robert Wiene avec Fern Andra La marquise d’Arminiani ( die marchesa d’Arminiani ) de Alfred Halm avec Pola Negri La couronne d’or ( die goldene krone ) de Alfred Halm avec Paul Hartmann Die kwannon von Okadera – de Carl Froelich avec Max Adalbert Kameraden – de Curt Courant avec Ernst Matray |
1921 | Die bettelgräfin vom kurfürstendamm – de Richard Eichberg
avec Maria Forescu
Sappho ( mad love ) de Dimitri Buchowetzki avec Alfred Abel Etat d’âme ( Irrende Seelen / Irrende Seelen – Sklaven der sinne ) de Carl Froelich avec Asta Nielsen La femme du pharaon ( das weib des pharao ) de Ernst Lubitsch avec Harry Liedtke La Paula noire ( die schwarze Paula ) de Trude Santen avec Margit Barnay |
1922 | Liste d’amour et du désir ( liebes-list und-lust ) de Reinhard Bruk
avec Margarete Kupfer
Il illumine mon amour ( es leuchtet meine liebe ) de Paul L. Stein avec Mady Christians Serveuse de bar ( bardame ) de Johannes Guter avec Hermann Thimig La terre qui flambe ( der brennende Acker ) de Friedrich Wilhelm Murnau avec Werner Krauss Das licht um mitternacht – de Hans von Wolzogen avec Max Landa Sein ist das gericht – de Bruno Lange avec Max Adalbert Der politische Teppich – de Hans von Wolzogen & Heinz Herald avec Max Landa |
1923 | I.N.R.I. ( I.N.R.I. – Ein film der menschlichkeit / crown of thorns ) de Robert Wiene
avec Alexander Granach
Das kabinett des Dr. Segato – de ? avec Theodor Loos Les eaux printanières ( frühlingsfluten ) de Nikolai Malikoff avec Harry Hardt Le trésor de Gesine Jakobsen ( der schatz der Gesine Jakobsen ) de Rudolf Walther-Fein avec Paul Wegener Les Buddenbrook ( die Buddenbrooks ) de Gerhardt Lamprecht avec Mady Christians |
1924 | Wenn die liebe nicht wär’ ! – de Robert Dinesen avec Karl Platen |
1925 | La mariée retrouvée ( die gefundene braut ) de Rochus Gliese
avec Max Schreck
Une minute avant minuit ( eine minute vor zwölf ) de Nunzio Malasomma avec Luciano Albertini Freies volk – de Martin Berger avec Mathias Wieman 117 bis Grande Rue ( menschen untereinander ) de Gerhardt Lamprecht avec Aud Egede Nissen |
1926 | Les batards / Des enfants sans importance ( die unehelichen ) de Gerhard Lamprecht
avec Jaro Fürth
Die sporck’schen jäger / Bataillon Sporck – de Holger-Madsen avec Walter Rilla Violantha / Die köningin der berge – de Carl Froelich avec William Dieterle Les maîtres chanteurs de Nuremberg ( der meister von Nürnberg ) de Ludwig Berger avec Veit Harlan |
1927 | Ce que cache les enfants à leurs parents ( was kinder den eltern verschweigen ) de Franz
Osten avec Jakob Tietdke
Luther / Martin Luther ( ein film der deutschen revolution von Hans Kyser / der mönch von Wittenberg ) de Hans Kyser avec Theodor Loos Das mädchen mit den fünf nullen / Das große los / Der hauttreffer – de Curtis Bernhardt avec Paul Bildt Le vieux Fritz, 1ère partie ( der alte Fritz. 1. Friede ) de Gehardt Lamprecht avec Otto Gebühr Le vieux Fritz, 2ème partie ( der alte Fritz. 2. Ausklang ) de Gehardt Lamprecht avec Otto Gebühr |
1928 | Lotte ( die schloßherrin vom Rhein ) de Carl Froelich
avec Walter Jankuhn
Convoitise ( die von der scholle sind ) de Alexander Lang avec Oscar Marion Cœur embrasé ( das brennende herz ) de Ludwig Berger avec Ida Wüst |
1929 | Atlantique ( Atlantik ) de Ewald André Dupont
avec Willi Forst
Le triomphe de la vie ( ich lebe für dich / triumph des lebens ) de William Dieterle avec Erna Morena L’amante légitime ( ehe in not / ehen zu dritt ) de Richard Oswald avec Elga Brink Manolesco roi des voleurs / Manolesco prince des sleepings ( Manolescu / Manolescu – Der könig der hochstapler) de Victor Tourjansky avec Ivan Mosjoukine Rêves de printemps ( frühlingsrauschen / tränen, die ich dir geweint ) de William Dieterle avec Julius Brandt |
1931 | L’invité inconnu ( der unbekannte gast ) de E.W. Emo
avec Hilde Hildebrand
Les treize malles de monsieur O.F. ( die koffer des herrn O.F. ) de Alexis Granowsky avec Peter Lorre Das lied vom leben – de Alexis Granowsky avec Aribert Mog Drei von der stempelstelle – de Eugen Thiele avec Evelyn Holt |
1932 | Le réveil d’Herta ( was wissen denn die männer ) de Gerhard Lamprecht
avec Julia Serda
Les onze officiers de Schill ( die elf schill’schen offiziere / ich hatt’ einen kameraden ) de Rudolf Meinert avec Veit Harlan L’homme qui ne sait pas dire non ( ich will dich liebe lehren ) de Heinz Hilpert avec Lotte Stein |
1933 | Morgenrot – de Vernon Sewell & Gustav Ucicky avec Paul Henreid |
1934 | Le chant d’amour / C’est beau d’être aimé ( schön ist es, verliebt zu sein ) de Walter Janssen
avec Karin Hardt
Musique dans le sang / Le film sans nom ( musik im blut ) de Erich Waschneck avec Hanna Waag Besuch am abend – de Georg Jacoby avec Liane Haid L’or ( gold ) de Karl Hartl avec Hans Albers Barcarole – de Gerhardt Lamprecht avec Lida Baarova Les cent jours ( hundert tage ) de Franz Wenzler avec Werner Krauss |
1935 | L’étudiant de Prague ( der student von Prag ) de Arthur Robison
avec Anton Walbrook
Jeanne d’Arc ( das mädchen Johanna ) de Gustav Ucicky avec Angela Salloker |
1936 | Seize ans / La fille Irène ( das mädchen Irene ) de Reinhold Schünzel
avec Sabine Peters
Moral – de Hans H. Zerlett avec Roma Bahn Hans im glück – de Robert Herlth & Walter Röhrig avec Erich Dunskus L’enlèvement ( die entführung ) de Géza von Bolváry avec Gustav Fröhlich Annemarie ( Annemarie, die geschichte einer jungen liebe ) de Fritz Peter Buch avec Lotte Spira Yette la divine ( die göttliche Jette ) de Erick Waschneck avec Grethe Weiser |
1937 | Der etappenhase – de Joe Stöckel
avec Günther Lüders
Comédie dangereuse ( gefährliches spiel ) de Erich Engel avec Theo Lingen Cabrioles / Pirouettes ( kapriolen / capriolen / liebe im gleitflug ) de Gustaf Gründgens avec Volker von Collande La belle mademoiselle Schragg ( das schöne fräulein Schragg ) de Hans Deppe avec Hilde Schneider Entreprise Michael ( unternehmen Michael ) de Karl Ritter avec Beppo Brem Daphne und der diplomat – de Robert A. Stemmle avec Gerda Maurus Ball im metropol – de Fran Wisbar avec Heinrich George Gasparone – de Georg Jacoby avec Johannes Heesters |
1938 | Altes herz geht auf die reise – de Carl Junghans
avec Ernst Legal
Chasse à l’homme ( grossalarm ) de Georg Jacoby avec Ursula Grabley Le joueur ( der spieler / Roman eines schwindlers ) de Gerhard Lamprecht avec Albrecht Schoenhals Toi et moi ( du und ich ) de Wolfgang Liebeneiner avec Brigitte Horney Fracht von Baltimore – de Hans Hinrich avec Attila Hörbiger Anna Favetti – de Erich Waschneck avec Beppo Brem La danse sur le volcan ( der tanz auf dem vulkan ) de Hans Steinhoff avec Hilde Hildebrand Pour le mérite – de Karl Ritter avec Paul Hartmann Ziel in den wolken – de Wolfgang Liebeneiner avec Hans Junkermann |
1939 | Le chapeau florentin ( der florentiner hut ) de Wolfgang Liebeneiner
avec Herti Kirchner
La bien-aimée ( die geliebte ) de Gerhard Lamprecht avec Dieter Borsche Légitime défense / Dans le mystère de la nuit ( der singende tor ) de Johannes Meyer avec Beniamino Gigli Légitime défense ( la casa lontana ) de Johannes Meyer avec Werner Fuetterer Version italienne de « Der singende tor » Wer küßt Madeleine – de Victor Janson avec Paul Bilt Der polizeifunk meldet – de Rudolf van der Noss avec Jack Trevor Eveil / Sa première aventure ( ihr erstes erlebnis ) de Joseph von Báky avec Karl Harbacher CM Der überraschende säugling – de Rudolf van der Noos avec Gunther Lüders |
1940 | Achtung ! Feind hört mit ! – de Arthur Maria Rabenalt
avec Lotte Koch
Was wird hier gespielt ? – de Theo Lingen avec Paul Henckels Christine ( die unvollkommene liebe ) de Erich Waschneck avec Liane Haid Musique de rêve ( traummusik ) de Géza von Bolváry avec Axel von Ambesser Le retour / Musique de rêve ( riturno ) de Géza von Bolváry & Giuseppe Fatigati avec Marte Harell Version italienne de « Traummusik» Premières amours / Amour bruyant ( lauter liebe ) de Heinz Rühmann avec Josefine Dora |
1941 | Anna la serveuse / Le secret d’Anna Rottner ( die kellnerin Anna ) de Peter Paul Brauer
avec Hermann Brix
Retour au pays ( heimkehr ) de Gustav Ucicky avec Carl Raddatz |
1942 | Ein windstoß – de Walter Felsenstein
avec Sonja Ziemann
Comédie d’amour ( liebeskomödie ) de Theo Lingen avec Albert Matterstock L’implacable destin ( der große schatten ) de Paul Verhoeven avec Heinrich George |
1943 | Ich werde dich auf händen tragen – de Kurt Hoffmann
avec Heli Finkenzeller
L’imposteur ( die hochstaplerin ) de Karl Anton avec Karl Ludwig Diehl Ein schöner tag – de Philipp Lothar Mayring avec Gunther Lüders |
1944 | Das leben ruft – de Arthur Maria Rabenalt
avec Sybille Schmitz
Le violon magique ( die zaubergeige ) de Hubert Maisch avec Paul Hörbiger Mathilde Möhring ( ich glaube an dich ) de Rolf Hansen avec Paul Klinger Die nacht der zwölf / Die nacht der 12 – de Hans Schweikart avec Rudolf Fernau Mathilde Möhring ( ich glaube an dich ) de Rolf Hansen avec Grethe Weiser Der mann, dem man den namen stahl – de Wolfgang Staudte avec Ruth Lommel |
1945 | Le mariage de Figaro ( Figaros hochzeit ) de Georg Wildhagen
avec Willy Domgraf-Faßbaender
Der mann im sattel – de Harry Piel avec Charlott Daudert Inachevé Dites la vérité ( sag’die wahrheit ) de Helmut Weiss avec Heinz Rühmann |
1947 | Kein platz für liebe – de Hans Deppe
avec Ernst Legal
L’affaire Wozzeck ( Wozzeck / der fall Wozzeck ) de Georg C. Klaren avec Helga Zülch …Und über uns der himmel – de Joseph von Báky avec Hans Albers |
1948 | Danke, es geht mir gut – de Erich Waschneck avec Eleonor Hauf |
1949 | Anonyme briefe – de Arthur Maria Rabenalt avec Alfred Braun |
1953 | Liebeserwachen – de Hans Heinrich
avec Carl Esmond
Plus fort que le destin ( die stärkere / du bist doch meine frau ) de Wolfgang Liebeneiner avec Tilla Durieux |
1954 | Annette de Tharau ( Ännchen von Tharau / so schlägt ein Mutterherz ) de Wolfgang Schleif
avec Heinz Engelmann
Un homme oublie l’amour ( ein mann vergißt die liebe ) de Volker von Collande avec Maria Holst |
1955 | Vor gott und den menschen – de Erich Engel avec Hans Söhnker |
1958 | Le secret de la famille ( ihr 106. geburtstag / der Stolz der familie ) de Günther Lüders avec Paul Hubschmid |
1959 | La rage de vivre / Cœurs dans la boue ( verbrechen nach schulschluß ) de Alfred Vohrer
avec Heidi Brühl
La Paloma – de Paul Martin avec Bibi Johns |
1960 | Quand les fantômes s’amusent ( das spukschloß im Spessart ) de Kurt Hoffmann
avec Georg Thomolla
Elle n’a pas hurlé avec les loups ( liebling der götter ) de Gottfried Reinhardt avec Ruth Leuwerik |
1964 | Das ungeheuer von London City – de Edwin Zbonek
avec Hans Nielsen
Emile et les detectives ( Emil and the detectives ) de Peter Tewksbury avec Walter Slezak |
1969 | Dr. med. Fabian : Lachen ist die beste medizin – de Harald Reinl avec Hans-Joachim Kulenkampff |
1971 | Unser Willi ist der beste – de Werner Jacobs avec Heinz Erhardt |
1973 | Le piéton ( der fußgänger / the pedestrian ) de Maximilian Schell avec Peggy Ashcroft |
AUTRES PRIX : | |
Prix d’honneur aux Prix du cinéma Germanique, Allemagne ( 1966 ) |